La fessée a-t-elle une valeur éducative ?
Le Conseil de l’Europe, l’organisme européen de défense des droits de l’homme, estime que la législation française « ne prévoit pas d’interdiction suffisamment claire, contraignante et précise des châtiments corporels ». La condamnation, attendue mercredi 4 mars, est seulement symbolique : elle n’a pas de force contraignante. Et le gouvernement a déjà exclu toute évolution de la loi. Mais elle relance un débat très vif en France : gifles et fessées sont-elles utiles pour éduquer les enfants, ou au contraire dangereuses ?
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